samedi 23 février 2008

le départ du malheur

Ce dimanche je suis allé à la bibliothèque de Beaubourg. Près du "coin sandwich", se trouve une sorte de balcon où quand il fait nuit, on peut voir une magnifique vue sur le quartier encore en pleine ébullition à cette heure-ci, mais là n'était pas le problème.J'attendais pour aller au toilette, la queue était longue, il y a toujours foule aux toilettes pour aller uriner.Il y avait deux africains, trois pakistanais et moi qui attendions pour aller faire la chose. Des trois urinoirs, une seule nous était accessible, les autres étant interdites, par quelques collants, interdisant le remplissage. Elle débordait de notre liquide jaune, et sentait fort mauvais, quelques morceaux de pain flottaient au-dessus, comme des navires sans capitaine.Seule une urinoir était accessible, les toilettes étant monopolisées par un lecteur de gauche constipé. Je dis lecteur de gauche, car plus tard nous le vîmes sortir, l'Humanité sous le bras. Un monsieur comique lui dit "tiens vous avez encore ce journal, il vous a pas servi à vous torcher?"Pendant cette latence, je me souvins d'une relation épistolaire qu'avait entretenue deux individus, à la Bibilothéque nationale de France.

















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